/!\ DANGER /!\ Elisabeth arrive. /!\ DANGER /!\

Une grosse voiture noire aux vitres teintées, comme celles des stars, pénétrait dans la cour des écuries d'Amilly. La personne qui conduisait, garait la voiture et coupait le moteur. La portière avant s'ouvrait, le chauffeur ouvrait la portière arrière.
- Vous pouvez... Commençait l'homme.
- C'est pas trop tôt ! Je croyais que je n'allais jamais pouvoir sortir ! Le coupait une adolescente qui sortait du véhicule.
La jeune fille était habillée d'un pantalon d'équitation gris et noir, de boot's et mini-chap's en cuir noir et d'un manteau d'équitation gris et noir. Ses cheveux étaient attachés en une queue de cheval, ne laissant aucuns cheveux s'échapper, seulement deux mèches à l'avant.
- Vous attendez quoi ?! Sortez les bagages, dépêchez-vous, je ne vais pas attendre deux heures, et puis, je ne veux pas me casser un ongle, vous vous rendez compte l'horreur ? En plus, je n'aurais pas beaucoup l'occasion de me faire une manucure ici.
- Oui mademoiselle Elisabeth, désolé mademoiselle.
Et c'était repartit. La dénommée Elisabeth partait dans un discours long et ennuyant, et que personne n'écoutait. Le chauffeur, ou l'esclave à vous de voir, sortait les bagages de la voiture sans écouter l'adolescente. Une adolescente qui était pourtant son chef. Haha, quelle ironie... Il venait souvent à se demander ce qu'il faisait là, mais il se rappellait toujours que chaques mois, l'argent lui était donné, et ce n'était pas que quelques centaines d'euros... Bref, les bagages étaient disposés à terre, l'adolescente assise sur une de ses valises. Ils attendaient.

Elisabeth soupirait. Qu'est-ce que le personnel faisait. Elle n'allait tout de même pas attendre toute la journée, elle ne devait pas attraper froid ! Imaginez, Elisabeth malade ! L'horreur, non ? Quel honte... Du moins, c'est ce qu'elle pensait. Bref revenons à nos poneys... Elisabeth entendait des bruits de pas, elle se retournait et remarquait une femme. Celle-ci se présentait à Elisabeth.
- Bonjour... Oui c'est bien moi. Répondait-elle d'un ton hautain. Albert, prenez les bagages, on y va. Continuait-elle avant de se lever.
Lé - pauvre - dénommé Albert attrapait tout les bagages de sa chef. Elisabeth claquait des doigts, Albert avançait alors vers la porte, Elisabeth entrait dans le secrétariat suivit du pauvre Albert qui traînait les bagages avec beaucoup de mal.

[ Saleté ! xD ]

Elisabeth écoutait attentivement Beverly. Oui, elle savait écouter, surtout quand on lui parlait du cheval qu'elle allait monter et où elle allait dormir. Après tout, elle ne voulait pas se perdre. Quelle honte pour elle, de se perdre. Imaginez, Elisabeth perdue ! L'horreur, non ? Non, non, je ne me répête pas. Bref, Elisabeth apprenait qu'on lui avait confié un cheval du nom de Qualin des Georgettes, un hongre... Mouais, elle aurait préféré un étalon, mais bon, de toute façon, elle ne pouvait plus faire marche arrière. Puis, Beverly ouvrait un tiroir, elle attrapait une clé qu'elle tendait à Elisabeth, celle-ci la prenait et écoutait Beverly. C'était donc la clé de la chambre. Elle l'accrochait à quelques portes-clés qui étaient sur son portable - Je sais plus comment on appelle les trucs qui sont accrochés aux portables, héhé >o<' -. Ensuite, Beverly donnait son numéro à Elisabeth qui le notait dans son portable. Enfin, elle rangeait son téléphone portable et écoutait la dernière phrase de Beverly.
- D'accord, je peux aller voir ma chambre, maintenant ? Je voudrais m'installer avant de voir mon cheval, s'il vous plait. Demandait-elle poliement.