« Box de Qualin de Georgette. [ Elisabeth D. ]

Mardi 1o Février.

Elisabeth arrivait devant l'écurie des juments et hongre, des écuries des Landes. L'adolescente venait d'arriver aux écuries d'Amilly et on venait de lui annoncer qu'on lui avait confié Qualin de Georgette, un hongre. Elisabeth marchait dans l'écurie, elle parcourait l'écurie en lisant les fiches où les noms étaient marqués. Elle s'arrêtait lorsqu'elle pouvait lire sur une fiche " Qualin de Georgette ", elle s'approchait un peu pour regarder le cheval qui était dans le box. C'était un cheval bai brun, d'une taille moyenne et très beau.
- Qualin !
L'appellé levait les oreilles et faisait quelques pas pour arriver près de la demi-porte, il passait sa tête par-dessus pour la faire sortir. Elisabeth passait sa main sur le chanfrein du cheval après lui avoir fait sentir. Qualin ne bougeait pas et semblait apprécier les caresses de sa nouvelle cavalière. Elisabeth poussait les deux locquets du box, elle entre-ouvrait la porte et se faufilait à l'intérieur du box. Elle passait sa main sur le corps découvert du bai, pour voir si il n'était pas chatouilleux quelque part. Apparement non, elle verrait le reste quand la couverture sera enlevée. Elisabeth sortait du box et fermait la porte.
- Je vais chercher mes affaires de pansage, je reviens.
L'adolescente marchait jusqu'à la sellerie où sa malle avait été disposé par Albert, son esclave domestique. Elisabeth ouvrait sa malle, qui était protégée par un cadenas. L'adolescente prenait son sac de pansage et fermait la malle, à clés. Elle revenait près du box de Qualin, elle le prévenait de son arrivée et poussait les deux locquets du box, elle entrait et posait son sac à terre. Elle déttachait les sangles du poitrail et du ventre et pliait la couverture sur les reins du bai, pour ne pas qu'il attrape froid. Elisabeth ouvrait son sac de pansage, elle prenait son cure-pieds et curait les sabots. Une fois ses sabots propre, Elisabeth pû enlever la couverture et la poser à terre. La cavalière prenait un bouchon à poils longs et le passait sur les parties charnues du cheval, puis elle l'échangeait contre un bouchon à poils courts qu'elle passait sur les membres pour enlever toutes les saletées.
- J'espère qu'on va bien s'entendre...
Elisabeth attrapait sa brosse douce et la passait sur la tête de Qualin qui semblait apprécier le pansage et qui ne bougeait pas. L'adolescente attrapait sa brosse à crins et brossait le toupet, la crinière et la queue du bai, puis elle le troquait contre son épousette qu'elle passait sur le corps du cheval, pour enlever les dernières poussières. Elisabeth prenait ses petites lingettes, elle en passait une sur les yeux, une sur les naseaux et une sur la comissûre des lèvres de Qualin, puis elle les jettaient.
- Voilà, t'es tout propre.
Elisabeth attrapait sa couverture, elle la posait sur le dos de Qualin et attachait les sangles du poitrail, du ventre et les lanières autour des cuisses. L'adolescente prenait des friandises de son sac et les tendaient à Qualin qui vint rapidement les prendre pour les avaler. Elisabeth fermait son sac de pansage, elle faisait un dernier bisous à Qualin, puis elle sortait du box en fermant la porte, poussant bien les deux locquets. Elle partait dans la sellerie, elle ouvrait sa malle et rangeait son sac dedans, puis elle refermait sa malle à clés et elle partait. Les palefreniers étaient là pour nourrir les chevaux, donc pas de soucis à se faire pour Qualin, il allait manger.

Elisabeth arrivait vers quinze heures devant l'écurie. L'évaluation de Qualin et elle se passerait à seize heures, elle avait donc une heure pour s'occuper convenablement de son cheval. L'adolescente traversait l'écurie et entrait dans la sellerie, elle attrapait sa malle d'une main et la faisait rouler jusqu'au box de Qualin.
- Re-coucou Qualin, aujourd'hui on a une éval', alors faut que tu sois propre, expliquait-elle.
La cavalière ouvrait sa malle et attrapait son sac de pansage, elle poussait les deux locquets et ouvrait la porte du box, elle entrait et posait le sac par-terre. Elle déttachait les différentes sangles de la couverture du selle français et repliais la couverture sur ses reins. Elisabeth attrapait son cure-pieds et elle curait les sabots du cheval, enlevant chaques saletées. Puis, l'adolescente enlevait la couverture et la posait à terre. Elle prenait son bouchon à poils longs et le passait sur les parties charnues de Qualin.
- J'espère que tout va bien se passer, je n'ai pas envie de me faire ridiculier par toi !
Elisabeth attrapait son bouchon à poils courts et le passait sur les membres de Qualin, puis elle prenait sa brosse douce pour enlever les dernières saletées, elle l'échangeait contre sa brosse à tête qu'elle passait donc sur la tête du cheval. Elisabeth prenait sa brosse à crins et brossait le toupet, la crinière et la queue de Qualin, puis elle rangeait sa brosse. L'adolescente attrapait son épousette avec du lustrant et lustrait les poils du cheval. La cavalière prenait son paquet de lingette, elle en passait une sur les yeux, une sur les naseaux, une sur la comissûre des lèvres et deux sous les orifices naturelles. Puis, elle les jettait.
- Bon, je crois que c'est bon... J'ai le temps, alors je vais te coiffer un peu !
Tout en parlant, Elisabeth attrapait des elastiques, elle commençait à faire des petites tresses sur la crinière de Qualin, puis elle les repliaient sur elles-mêmes pour former des pions. Elle répêtait la même opération pour le toupet et faisait une tresse de queue.
- Voilàà ! On dirait un vrai cheval de concours... Bon, faut quand même que je me dépêche moi, je vais leur en mettre pleins la vue !
L'adolescente fermait son sac de pansage et le posait dans sa malle, elle attrapait son tapis blanc et son amortisseur à moumoutte blanche, elle les posait sur le dos de Qualin, elle les mettait un peu en avant par rapport au garrot, puis les faisaient glisser pour lisser le poils. Elisabeth attrapait sa selle de C.S.O en cuir noir, elle la posait sur le dos de Qualin, elle attendait avant de sangler, elle devait mettre le filet d'abord pour mettre le gogue. Elisabeth attrapait son filet à muserolle croisées en cuir noir à rondelles de mors blanches et moumoutte blanche, spécialement prévue pour les concours. Elle passait les rênes par-dessus la tête de Qualin et introduisait le mors dans la bouche du selle français, en chatouillant l'endroit où il n'y avait pas de dents avec son pouce. La cavalière enfilait le filet à son cheval, elle attachait les deux lanières de la muserolle et celle de la sous-gorge, puis elle règlait bien le filet.
- Le gogue, maintenant, soufflait-elle.
Elisabeth attrapait son gogue noir, elle l'enfilait par-dessus la tête de Qualin, elle passait la sangle dans les passants du tapis, dans le "passant" du gogue et elle sanglait à un trou. Elle attachait le gogue au montant du filet, elle passait les deux lanières dans l'anneau du mors et l'attachait, mais elle ne le branchait pas encore.
- Voilà, maintenant, je te protège...
L'adolescente prenait ses protections, elle mettait ses guêtres et protèges-boulets en cuir noir avec de la moumoutte blanche, elle lui mettait ses cloches noires et lui mettait le couvre-rein noir. Puis, Elisabeth partait se changer et elle revenait avec un pantalon blanc, des boot's et mini-chap's en cuir, ses éperons, sa veste de concours, sa cravache blanche et noire et enfin, sa GPA.
- Ok, on y va !
Elisabeth attrapait les rênes du bai, puis ils partaient tout les deux...

Elisabeth revenait avec Qualin, après l'évaluation. Ça c'était bien passé. Elisabeth faisait rentrer Qualin dans le box, elle hôtait sa bombe et ses éperons qu'elle rangeait dans sa malle. Puis, elle déttachait le gogue du filet et enlevait le filet qu'elle posait dans sa malle, elle dessanglait et enlevait le gogue qu'elle posait aussi dans la malle. Elisabeth déttachait la sangle et la posait dans la malle, elle enveloppait la selle dans la house et la rangeait. Elle enlevait ensuite, le couvre-rein, le tapis, et l'amortisseur qu'elle rangait. Puis, elle enlevait les protections qu'elle jetait négligemment dans sa malle.
- C'était pas mal, hein ?
L'adolescente passait un coup de bouchon sur la robe du cheval, puis elle lui mettait la couverture et attachait toutes les sangles. Elisabeth démêlait les crins du cheval, lui curait les sabots et lui donnait une pomme, en lui caressant le chanfrein.
- Bon, bah j'y vais. À ce soir, pour ta ration !
Elisabeth sortait du box, elle fermait la porte en poussant les deux locquets du box. Elle fermait sa malle à clés, elle la rangeait dans la sellerie puis elle partait.

Elisabeth entrait rapidement dans l'écurie, elle venait de lire un peu pour laisser le temps à Qualin de digérer, et maintenant, elle allait monter Qualin. Mais avant, il fallait le penser et le seller. L'adolescente traversait l'écurie, puis elle entrait dans la sellerie et attrapait sa malle qu'elle faisait rouler, elle s'arrêtait devant le box de Qualin, elle poussait sa malle contre le mur.
- Je vais te panser loulou !
Elisabeth poussait les deux locquets du box, elle entrait dans le box de Qualin, et caressait le selle français. Puis, elle déttachait les différentes sangles de la couverture et la repliait sur les reins du bai. Elle ouvrait sa malle et prenait son sac de pansage, Elisabeth le posait et l'ouvrait. Elle sortait son bouchon à poils longs et commençait à le passer sur les parties charnues, puis elle enlevait la couverture et la posait. Elle continuait avec le bouchon à poils courts sur les membres.
- On va dresser un peu aujourd'hui, vu qu'on à sauter avant hier.
L'adolescente passait ensuite la brosse douce pour enlever les dernières saletées, elle passait la brosse à tête sur la grande tête de Qualin. Elisabeth brossait les crins du cheval, elle passait l'épousette sur la robe du selle français, elle lui curait les sabots et lui nettoyait les yeux, les naseaux, la comissûre des lèvres et les orifices génitales avec différentes petites lingettes.
- Bien, t'es tout propre.
Rapidement, Elisabeth posait son tapis violet à liserées noires, son amortisseur en moumoutte noir, sa selle en cuir de dressage noire, son couvre-rein noir à liserées violettes. Puis, elle lui mettait le filet à muserolle croisée en cuir noir avec rondelles noires et moumoutte violette. Elle lui mettait le gogue, elle passait la sangle dans les passants du tapis et dans le gogue, puis elle sanglait. Elisabeth mettait ensuite les bandes de polo violettes pour le diagonal gauche et noires pour le diagonal droit, elle mettait ses cloches violettes, puis échangeait ses converses contre ses boot's et mini-chap's en cuir noir. Elle mettait ses éperons, sa bombe et prenait sa cravache, puis elle emmenait Qualin pour l'entraîner.